Ce militant nationaliste a été condamné  par la juridiction spéciale en première instance à 7 années de réclusion, dans un procès   au verdict  d’une dureté disproportionnée en rapport aux faits reprochés.

Plus que le simple fait  d’être le détenteur présumé  d’un minuteur d’arrosage  et d’avoir hypothétiquement procédé à son expédition  à destination d’une tierce personne , il a  surtout  et essentiellement  été retenu contre ce militant exemplaire le fait qu’il n’a jamais renié son patriotisme, car comme l’a dit le procureur général, « je vais demander une peine exemplaire parce-que vous êtes resté droit dans vos bottes. »

cette forme de justice telle qu’elle à été administrée en première instance ,  ne peut se prévaloir de valeurs démocratiques  car dans cette affaire elle  avant tout  démontrée  son impartialité, son manque  d’indépendance  et ses   aprioris  d’ordre politique à l’encontre de ce nationaliste.  

 Ce procès en appel doit pouvoir donner l’occasion à la  justice de  se ressaisir.

 Elle  doit objectivement  mesurer l’insignifiante épaisseur  du dossier et  mette fin a son incarcération qui lui à déjà pris 610 jours  de sa vie  en exil carcéral.

Corsica  Libera   tient à saluer le courage  d’Olivier  et  de sa famille devant cette épreuve  et leur apporte sa solidarité pleine et entière  en attendant sa libération. 

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