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L'avocat général avait demandé de condamner lourdement Olivier Peretti parce qu'il assumait d'être un patriote corse : 7 ANS DE PRISON POUR UN COLIS "SUSPECT"

Le 9 juillet 2008 : (12:59 Unità Naziunale, www.unita-naziunale.org - Corse - Lutte de Masse)   "je vais demander une lourde peine, parce que vous n’avez pas renoncé à vos idées et que vous êtes  restez droit dans vos bottes ", "Ca fera du bien à Monsieur Peretti de rester en prison", C'est par ces phrases que l'avocat général avait vomis son réquisitoire à l'encontre d'un corse intègre, qui n'a jamais remis en question le pourquoi de son engagement politique.

7 ans de prison ferme au lieu des 6 ou 7 demandé accompagné des deux tiers incompressible c'est clairement un acharnement anti corse uniquement parce qu'Olivier Peretti a assumer d'être un militant de la CAUSE CORSE. Olivier Peretti pourrait faire appel de cette décision inique.

AFP : Trois Corses ont été condamnés mercredi par le tribunal correctionnel de Paris à des peines allant de un à sept ans de prison ferme pour avoir expédié, ou avoir été destinataire, d'un colis contenant des éléments pouvant servir à la fabrication d'une bombe.

Les trois hommes, âgés de 33 à 37 ans, étaient poursuivis notamment pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste.
C'est Olivier Peretti qui a écopé de la plus lourde peine (sept ans de prison), tandis que Eric Campini et Alain Donadio ont été condamnés à trois ans d'emprisonnement, dont un ferme.

Le parquet avait requis respectivement 6 à 7 ans de prison pour le premier prévenu et quatre ans, dont trois ferme, pour les deux autres.
L'affaire avait débuté en mai 2007. Au centre Chronopost d'Angers où sont acheminés tous les envois qui n'ont pas trouvé preneur, un colis suspect avait été découvert en provenance d'Ajaccio et adressé à un certain Poggi résidant à Paris. A deux reprises, le facteur parisien était passé mais personne n'avait récupéré le colis.

Les démineurs avaient alors découvert dans le colis un système de mise à feu électrique temporisé à l'aide d'un programmateur d'arrosage automatique. Accompagné de gants, de colle, d'un tournevis et d'une pince coupante, le colis était enveloppé dans des pages d'un exemplaire du journal Corse-Matin daté du 8 avril 2007.

L'enquête avait permis d'identifier le destinataire réel, Eric Campini, et de déterminer que les éléments du colis avaient été achetés dans un magasin de jardinage d'Ajaccio, le 5 avril 2007.

Selon l'accusation, c'est Olivier Peretti qui les aurait achetés, tandis que Alain Donadio serait "l'intermédiaire" qui aurait mis en relation Peretti et Campini.

Les trois prévenus ont été confondus par de nombreuses localisations par téléphone portable, "mais aussi et surtout" par la découverte au domicile de Peretti d'un exemplaire incomplet du Corse-Matin du 8 avril 2007, les pages manquantes étant exactement celles retrouvées dans le colis Chronopost.

Dossier Rapprochement des prisonniers politiques : 10 ans de revendication du Comité Anti Répression
Source photo : Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :  Unità Naziunale

© UNITA NAZIUNALE

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